T’as des enfants? Des cheveux gris?
Tu as connu beaucoup de filles?
Tu deviens quoi? Beaucoup changé?
Et tu fais quoi comme métier?
Tu penses a moi... c’est évident.
Et pourtant ça fait si longtemps...
Retrouverait-on notre amitié
Ou faut-il tout recommencer?
On n’est plus les mêmes enfants
(On est même adultes maintenant!)
En fin de compte, vaudrait-il mieux
Ne rien attendre de nous deux?
Garder intacte le souvenir?
Si on n’avait rien à se dire?
Laisser tout ca dans le passé...
Ou bien au cas où... tout risquer?
Monday, 15 September 2008
Saturday, 13 September 2008
Me revoilà...
Alors, voilà. Je l’ai, mon nouvel ordinateur, qui « parle » français. Plus d’excuse. Vous devriez pouvoir revenir tous les jours voir mon blog et, en principe, y trouver quelque chose de nouveau, d’original ou au moins de bien écrit.
Pourtant… reste le syndrome de la page blanche et de la petite panique quand on se retrouve seul avec le stylo métaphorique qu’est le clavier. J’ai les moyens, maintenant, non pas financièrement parlant – si seulement je pouvais me permettre de vivre de ma plume ! Un jour, peut-être, mais ce n’est pas pour demain – mais du moins, les matériaux (et la maitrise du français) qu’il me faut pour écrire plus régulièrement. Et pourtant... l’inspiration vient-elle plus facilement lorsqu’il est plus aisé d’écrire ? Il me semble que non. Sinon, comment expliquer le phénomène connus par tous les écrivains, ou les idées se bousculent au moment de se coucher, quand la lumière est éteinte et le carnet hors de portée ?
Je reviendrai donc peut-être à ces fameux cahiers-brouillon en provenance du GB. On verra. Pour le moment, je voulais ressusciter mon blog avant que vous ne vous endormiez tout à fait...
Pourtant… reste le syndrome de la page blanche et de la petite panique quand on se retrouve seul avec le stylo métaphorique qu’est le clavier. J’ai les moyens, maintenant, non pas financièrement parlant – si seulement je pouvais me permettre de vivre de ma plume ! Un jour, peut-être, mais ce n’est pas pour demain – mais du moins, les matériaux (et la maitrise du français) qu’il me faut pour écrire plus régulièrement. Et pourtant... l’inspiration vient-elle plus facilement lorsqu’il est plus aisé d’écrire ? Il me semble que non. Sinon, comment expliquer le phénomène connus par tous les écrivains, ou les idées se bousculent au moment de se coucher, quand la lumière est éteinte et le carnet hors de portée ?
Je reviendrai donc peut-être à ces fameux cahiers-brouillon en provenance du GB. On verra. Pour le moment, je voulais ressusciter mon blog avant que vous ne vous endormiez tout à fait...
Subscribe to:
Posts (Atom)